Merci à l'auteur du montage pour cette page d'histoire.
"J'ai besoin de m'abreuver à la fontaine d'où je coule de source", Serge Doubrovsky. "La mienne, se trouve quelque part en bordure d'un
maquis où les fleurs disputent de parfum et les arbres de dignité", Anne-Marie Sambroni.
Les photographies des albums sont personnelles. Par contre, certains clichés qui illustrent les articles ont été empruntés sur la toile. Si le propriétaire de ces illustrations me
le demande, je les supprimerai.
Merci à l'auteur du montage pour cette page d'histoire.
Colchiques dans les prés
Fleurissent, fleurissent
Colchiques dans les prés
C'est la fin de l'été
La feuille d'automne
Emportée par le vent
En rondes monotones
Tombant, tourbillonnant
Nuage dans le ciel
S'étire, s'étire
Nuage dans le ciel
S'étire comme une aile
La feuille d'automne
Emportée par le vent
En rondes monotones
Tombant, tourbillonnant
Châtaignes dans les bois
Se fendent, se fendent
Châtaignes dans les bois
Se fendent sous nos pas
La feuille d'automne
Emportée par le vent
En rondes monotones
Tombant, tourbillonnant
Et ce chant dans mon coeur
Murmure, murmure
Et ce chant dans mon coeur
Murmure le bonheur
La feuille d'automne
Emportée par le vent
En rondes monotones
Tombant, tourbillonnant
La feuille d'automne
Emportée par le vent
En rondes monotones
Tombant, tourbillonnant
La certitude de mourir est un savoir et non une expérience, le plus certain de tous mes savoirs concernant mon avenir mais seulement un savoir. [...] A la différence de la vie, d'abord révélée par un sentiment, la mort est d'abord découverte par la connaissance...".
Paul Ricoeur - Philosophie de la volonté (1949)
Vieille fleur du Pérou au bel astre pareil,
Sunflower, Sonnenblume, Girasol, Girassole
L’oiseau trouve un abri sous ton grand parasol,
Au plus chaud de l'été, éclosent tes merveilles.
"Hélianthus annuus" ou même "grand soleil"
Tu envahis les champs de mille têtes fières
Qui rebrodent d'or pur notre dame la Terre
Frissonnante d'azur, émeraude et vermeil.
De ton coeur irradié par l'astre solennel
Va couler la douceur d'une huile flavescente
Radieux tournesol, sur ta tige puissante
Tu règnes glorieux, et parais éternel !
La folie de Vincent a cru, dans tes pétales
Entrevoir les grands feux d'un lointain paradis
Tu as su fasciner le grand peintre maudit
Qui, au milieu des champs recherchait les étoiles...
Marcek 17 juillet 2003
http://poesie.webnet.fr/vospoemes/poemes/michele_corti/tournesol.html
Ai pesu lu ditu di core è di memoria
U to solu partitu a to prima vittoria
Vinti anni à lu destinu un pezzu ch’è tù vochi
A circà lu caminu erete belli pochi
Sò vinti anni di vita chì venenu à pichjà
È cum'è una ferita chì ti face marchjà
Hè Corsa la to vita di lege preferita
Campà
Ai lasciatu corre à spessu li to affari
Risparmiatu l'amore ancu à i to più cari
Vinti anni cum'è un focu accesu in le to vene
Pè un pezzu di locu chì sì cerca un avvene
T'anu chjosu le porte messu nantu à una lista
Eppo t'anu ancu trovu l'anima terrurista
Vinti anni ch'è tù batti un paese à lu core
È nantu à i ritratti e ricunnosci l'ore
Sò vinti anni di vita è tandu cum'è avà
Ci hè sempre una ferita chì ti face marchjà
Hè Corsa la to vita di lege preferita
Campà
I muvrini
"La vie n'est qu'une histoire de fou, contée par un idiot, pleine de fureur et de bruit, et qui ne veut rien dire," (Hamlet, Shakespear).
Mais au milieu de toute cette fureur, une bulle de sérénité, un rêve en apesanteur qui nous montre le chemin...
Comme un écho, depuis le début.